How to find all Gmail unlabelled messages: finally an official operator

I am happy to discover that a native way to filter unlabelled messages in Gmail was recently made available by the Gmail team, though it does not seem to be widely known yet.

The operators has:userlabels and has:nouserlabels achieve what previously required the concatenation of negative label conditions for all labels in your account (such as “-label:Stuff -label:OtherStuff”). The greasemonkey extension gmailUnlabelled certainly existed to automate the process. But it had to be potentially updated with each alteration of the Gmail UI and did not work well with non US locales.

As per the official documentation:

has:userlabels, has:nouserlabels: Finds all messages without any of your own labels (excludes automatic labels like inbox, spam, and trash). Since Gmail applies labels to individual messages, you might see results that appear to have labels; in this case, another message in the same conversation thread has had a label applied to it.

The simplest search expression to obtain all unlabelled emails in gmail (and exclude system labels as well) is henceforth the following:

has:nouserlabels -label:inbox -label:sent -label:chats -label:draft -label:spam -label:trash

For regular use, this dynamic search result can be saved using the “Quick links” feature available in the Gmail Labs.

Comment financer Wikipédia ?

Depuis plusieurs jours, je ne sais pas trop quoi penser de la manie de Wikipédia à bannir toute publicité, mais à occuper grassement l’espace normalement dédié aux articles pour afficher un bandeau “publicitaire” en vue de sa campagne de dons. Celui-ci restera au moins 1 mois d’après mes estimations. Voici à quoi cela ressemble :

Dons sur Wikipédia

Maintenant, que se passe-t-il si l’on utilise le même espace de manière plus productive ? Si l’on choisit par exemple Google Adwords pour financer Wikipédia durant le même intervalle de temps ? Cela donnerait à peu près ça :

Dons sur Wikipédia

Faisons un rapide calcul sur les bénéfices générés. D’après Tux-planet, en date du 10 octobre 2008, Wikipédia générait 10 milliards de pages vues par mois. Si on prend un CTR (click through rate, c’est à dire le nombre de clics pour 1000 impressions) de 1% (hypothèse pessimiste, vu que la fourchette va généralement jusqu’à 15%), et une moyenne de 5 cts par clic, la recette en un mois est donc de 10^10*0.01*0.05 = 5 millions de dollars (et un peu moins pour Google, qui serait certainement prêt à faire preuve d’une générosité en la matière :-)). Voilà de quoi faire supporter le coût de Wikipédia à des annonceurs tout contents de toucher cette audience.

Et ça serait même l’occasion de supprimer cet horrible bandeau en haut de page pour plutôt mettre à la fin des articles une section “Liens commerciaux”, que je cherche d’ailleurs souvent quand je lis certains articles. Discrétion et performance, encore une fois pour une durée pouvant rester identique à celle des campagnes de dons actuelles.

Ajoutons ma recommandation de longue date, de permettre aux détenteurs de compte de Wikipédia de choisir d’afficher ou non de la pub (pour ceux notamment qui n’ont pas les moyens de faire un don significatif), et la fondation Wikimedia deviendra bientôt aussi riche que sa consoeur de Mozilla…

A vos marques, prêts ? Cliquez !

“Ils ont dit”, avec Google InQuotes

Voilà un nouveau service sympathique sorti des Google Labs. Google InQuotes permet d’obtenir des citations de personnes sur des sujets donnés.
Il est encore très limité (je n’ai pas réussi à lui faire afficher des citations de Nicolas Sarkozy), mais on peut s’attendre à ce que dans un proche avenir, cet outil soit bientôt extensivement utilisé pour écrire des articles de presse (ou des dissertations, voire publications académiques).

A quand un générateur de papers comme le fameux SCIgen, avec d’authentiques citations, voire un générateur d’articles de presse ?

Designez la favicon de Google

Vous l’avez sans doute remarqué, la favicon de Google a changé ! Mais ce que vous ignorez peut-être, c’est que le design choisi n’est pas final, comme en témoigne se post sur un blog officiel de la société (notez que Marissa Mayer n’a jusqu’à présent aucun lien avec la Fondation Erwin Mayer) :

One Fish, Two Fish, Red Fish, Blue Fish

6/06/2008 05:48:00 PM

 

You may have noticed that Google has a new favicon, the small icon you see in your browser next to the URL or in your bookmarks list. Some people have wondered why we changed our favicon — after all, we hadn’t in 8.5 years(!). The reason is that we wanted to develop a set of icons that would scale better to some new platforms like the iPhone and other mobile devices. So the new favicon is one of those, but we’ve also developed a group of logo-based icons that all hang together as a unified set. Here’s the full set:

The design process we went through was rigorous and interesting, so we thought we would share more of it here. We tried in total more than 300 permutations. It was much harder than we thought at first. We wanted something distinctive and noticeable, so we aimed toward transparency or semi-transparency, so the image would have a more distinctive noticeable shape than just a block. We wanted something that embraced the colorfulness of the logo, yet wouldn’t date itself. Since we don’t really have a symbol that means Google, we felt it best to work with the logo and letters within it. Our design team tried literally hundreds of approaches. You can see some of our explorations here.


By no means is the one you’re seeing our favicon final; it was a first step to a more
unified set of icons. However, we really value feedback from users and want to hear your ideas that we may have missed. If you have your own notions about the Google favicon, please send them to us. We’ll do our best to work them in, and maybe your idea will be the one that people see billions of times per day.

Il vous est donc possible de peut-être mettre à contribution vos talents d’artiste sur la grille 16×16 de paint, et d’inventer le Google de demain. Mais lisez bien les conditions avant !

La soumission se passe par ici. On ne peut que se réjouir de voir Google prendre au sérieux le design. Je trouve personnellement que c’est aujourd’hui leur principal point faible (la sobriété est très appréciable mais l’on aimerait parfois un peu plus de libertés). Il y a pire comme point faible cependant ! Je ne citerai pas encore des entreprises dont je suis client et qui ne savent pas coder dignement en Javascript ; celles-là méritent de loin un plus cruel châtiment !

Google en ligne de commande

Les API réservent parfois bien des surprises. Si le GUI du site est agréable, il ne reste plus qu’à tester aussi depuis un terminal classique pour voir si cela fonctionne (à part les images sans doute). Et il ne manque plus que quelques liens publicitaires dans les résultats de recherche.

Tout bon geek qui se respecte devrait être intéressé, sinon amusé par le nouveau site goosh.org, mis en ligne par Stefan Grothkopp, un développeur allemand indépendant. Ce site permet en effet de taper des requêtes google en ligne de commande, comme on le ferait dans un terminal Unix ou dans une fenêtre MS-DOS, via un language de script.
Ainsi pour faire une recherche sur le mot télécharger, au lieu d’utiliser le moteur de recherche Google, on peut désormais se rendre sur goosh.org et taper télécharger à l’invitation. Comme pour toutes les autres requêtes, goosh présente les quatre premiers résultats renvoyés par google.

Aux « aficionados » de la ligne de commande

Vous vous demandez à quoi cet outil peut-il bien servir ? Pas à grand chose sinon qu’il offre aux aficionados de la ligne de commande, un moyen sympathique d’accéder à Google.
Il permet aussi d’accéder à l’ensemble des fonctions de Google à l’aide d’une seule fenêtre, moyennant la connaissance de quelques commandes. Si l’on tape « images roses », Goosh proposera les quatre premiers résultats renvoyés par Google Images. Si l’on tape « news Sarkozy », Goosh proposera les quatre premiers résultats renvoyés par Google Actualités sur Sarkozy et ainsi de suite. Pour avoir la liste des commandes, il suffira de taper « help » à l’invitation du prompt.
A noter que la commande « wiki » suivie d’un mot clé permettra d’accéder aux résultats de Wikipédia concernant ce mot clé. Signalons aussi la présence de la commande « addengine » qui permet d’ajouter Goosh dans la liste des moteurs de la barre de recherche de Firefox.

Le « shell Google » non officiel

N’étant pas un produit développé par Google lui même, Goosh se présente comme le « shell Google non officiel ».« Je n’ai fait qu’utiliser l’API que propose Google et je pense que je respecte leurs conditions d’utilisation mêmes si certaines sont un peu vagues. Je ne sais pas si Google est au courant mais cela ne devrait pas leur déplaire, indique Stefan Grothkopp, J’ai démarré ce projet au début pour des besoins personnels parce que j’aime utiliser les lignes de commande ». 01net.com

Gmail évolue !

Sorry, this entry is only available in French. For the sake of viewer convenience, the content is shown below in the alternative language. You may click the link to switch the active language.

Nos amis russes ont trouvé la parade lorsqu’ils n’ont pas d’ordinateur sous la main. Par contre ils n’expliquent pas comment connecter leur écran à Internet. L’équipe locale de Google a décidé de réaliser une version grandeur nature de Gmail, à base de peinture, de morceaux de papier, et de beaucoup de patience.

Ratiatum devient Numerama

Ratiatum, site sur les loisirs numériques et l’actualité informatique, et une référence dans le domaine du Peer-to-Peer, change de nom et devient Numerama.

Or ce changement n’est pas sans effet comme ils l’expliquent :

Malgré toutes les précautions prises (redirections 301 de toutes les URL, architecture du site préservée, sitemap, redirection des flux RSS,…), Google n’a pas encore “digéré” le changement de nom de domaine, et pour le moment Numerama/Ratiatum s’effondre dans le bas des pages de résultats de recherche. Pour le moment Numerama/Ratiatum perd plus de 30 % de visites uniquement par l’effet de la baisse de référencement sur Google (c’est dire la place stratégique essentielle qu’occupe le moteur de recherche sur Internet…).

Aussi ont-ils besoin que de différents sites nous pointions sur leur page d’accueil, afin que Google les identifie comme site de confiance. C’est donc l’objet de ce billet, et c’est peut-être aussi l’occasion pour vous de découvrir ce site très bien fait, très fourni et très à la pointe de l’actualité informatique.

Je déplore juste une certaine perte d’identité, nul doute qu’en cas de crise ils passeront d’autant plus facilement à la trappe ou seront rachetés (par Boursorama ?-). Le design n’est pas très agréable non plus. Mais bon, business is business, je leur souhaite le meilleur succès et espère juste qu’ils maintiendront une ligne éditoriale forte.

A quand une véritable offre IPBX mutualisé avec gestion web ?

Etude de cas intéressante : une association souhaite gérer ses appels entrants efficacement, généralement destiné à 3 personnes aux compétences différentes. Horaires d’appel, répondeur, sélection du correspondant selon un menu vocal, voilà une solution qui paraît évidente. Seulement, les personnes sont dispersées géographiquement et l’association n’a pas les moyens (ni intérêt) d’investir dans un équipement coûteux.

Afin de les aider, je propose donc de recourir à un service hébergé (cela vous rappelera sans doute un précédent billet concernant la comptabilité et la gestion commerciale). Décidemment le SaaS répond à moindre coût à un nombre croissant de besoins. Problème, ma recherche Google est assez infructueuse, le seul résultat relativement convaincant étant http://www.standardiste-virtuelle.com/, qui ne propose cependant pas de service immédiatement activable moyennant finance, alors qu’a priori aucun obstacle technique ne s’y opposerait. Recherche sur Google anglophone, clic sur de nombreux liens sponsorisés, mais rien non plus de convaincant.

Conclusion : il n’existe pas aujourd’hui de solution IPBX mutualisé digne de ce nom et accessible à n’importe qui, n’importe quand, avec activation immédiate, et un coût limité (quelques euros par mois), comme on aime bien dans les nouveaux services du web 2.0. Avis à ceux qui souhaitent se lancer sur ce crénau, je suis prêt à les financer.